L'Arménie avertit que l'Azerbaïdjan pourrait l'envahir à tout moment

Ce n'est pas la fin de l'histoire
Le parti pris européen
La France est montrée du doigt
Une lourde responsabilité pour l'hexagone
Achat d'armes à Israël
Une guerre d'un jour
La République d'Artsakh
Une zone très convoitée
Le coup de grâce
Plus de 120 000 Arméniens ont fui la zone
Empêcher l'invasion ?
Ce n'est pas la fin de l'histoire

Depuis septembre, l'Azerbaïdjan a repris le contrôle de l'enclave arménienne du Haut-Karabakh, également connue sous le nom de République d'Artsakh. Pourtant, l'histoire ne fait que commencer...

Le parti pris européen

Selon Reuters, le président azerbaïdjanais Ilham Aliyev a accusé l'Union européenne de se ranger du côté de l'Arménie après s'être retiré des pourparlers avec le gouvernement arménien négociés par Bruxelles.

La France est montrée du doigt

Aliyev a d'ailleurs particulièrement pointé du doigt la France et sa promesse de fournir des équipements militaires à l'Arménie, souligne le site Politico.

Une lourde responsabilité pour l'hexagone

L'Azerbaïdjan affirme que la France est responsable de tout conflit armé qu'il pourrait engager avec son petit voisin à l'avenir.

Achat d'armes à Israël

Entre-temps, CNN a rapporté que l'Azerbaïdjan a acheté à Israël un large éventail de drones, de mortiers et de missiles, entre 2010 et 2020.

Une guerre d'un jour

Le gouvernement azerbaïdjanais a repris le contrôle du Haut-Karabakh lors d'une offensive militaire de grande envergure entre le 19 et le 20 septembre 2023.

La République d'Artsakh

La République sécessionniste d'Artsakh, qui lutte pour sa survie depuis la chute de l'Union soviétique en 1991, n'existe donc plus.

Une zone très convoitée

Par le passé, l'Azerbaïdjan s'est engagé dans deux guerres pour tenter de s'emparer de la région du Haut-Karabakh.

Le coup de grâce

Cependant, cette dernière tentative semble avoir porté le coup de grâce au contrôle arménien dans la région.

Plus de 120 000 Arméniens ont fui la zone

La plupart des 120 000 Arméniens qui vivaient dans le Haut-Karabakh ont été contraints de fuir, selon Al Jazeera.

Empêcher l'invasion ?

Aujourd'hui, le gouvernement arménien craint que son voisin, beaucoup plus grand, ne l'envahisse à tout moment.

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