Alerte : le gouvernement américain cache-t-il des preuves de vie extraterrestre ?

Peut-on seulement y croire ?
Le lanceur d'alerte
Un connaisseur
La force d'intervention
La marine aux commandes
Dans les règles
Des représailles pour avoir divulgué des informations
Que dénonce Grusch ?
Un vaisseau en bon état ?
Des appareils aux “origines exotiques”
Habilitation élevée
Un véritable engin spatial ? Peut-être...
Il n'a jamais vu de forme d'intelligence non humaine
“Au début, je n’y croyais pas... ”
Nous ne sommes pas seuls dans l’univers
Devons-nous prendre son alerte au sérieux ?
C'est tout simplement n'importe quoi, selon le magazine
Peut-on seulement y croire ?

Des objets artisanaux non humains qui auraient été cachés ? Des informations ont été dissimulées au Congrès américain ? Ces affirmations, émises par un lanceur d'alerte américain, sont-elles réellement crédibles ? Restez avec nous pour le découvrir !

Le lanceur d'alerte

C'est sur le site d'information de science et technique "The Debrief", que l'histoire de David Grusch a été révélée. Notre homme est ancien officier de renseignement et un combattant décoré qui a servi au sein de l'Agence Nationale Américaine de Renseignement Géospatial (NGA) et du Bureau national de Reconnaissance (NRO)

Un connaisseur

Grusch a occupé des postes qui lui ont permis d'acquérir des connaissances uniques dans le domaine des engins extraterrestres. En effet, il a été le co-dirigeant du groupe de la NGA (Agence nationale américaines de renseignements géospatiaux) entre 2021 et 2022, et il a également été le représentant du NRO sur les phénomènes aériens non identifiés entre 2019 et 2021. Le National Reconnaissance Office (NRO) est l'agence du gouvernement américain chargée de la conception, de la construction, du lancement et de l'entretien des satellites de renseignement américains.

La force d'intervention

Cette force d'intervention travaillait sur ce que le gouvernement appelle désormais officiellement des phénomènes anormaux non identifiés, appelés auparavant objets volants non identifiés, ou OVNI, d'après "The Debrief".

La marine aux commandes

Grusch est certainement compétent, et il jouit d'une grande crédibilité. Son groupe chargé d'enquêter sur les phénomènes anormaux non identifiés était placé sous le commandement du ministère de la marine, sous l'autorité du sous-secrétaire à la défense chargé du renseignement et de la sécurité.

Dans les règles

Plutôt que de divulguer les informations directement, Grusch a suivi les protocoles appropriés, selon "The Debrief", mais il a tout de même fait l'objet de représailles. Il n'est pas un lanceur d'alertes comme les autres, et a pourtant tout fait dans les règles pour informer le public de ce qu’il se passe réellement.

Des représailles pour avoir divulgué des informations

Représenté par un avocat qui a été l'inspecteur général de la communauté du renseignement, Grusch a déposé une plainte officielle "alléguant qu'il a subi des représailles illégales pour avoir divulgué des informations confidentielles", comme l'explique le compte-rendu.

Que dénonce Grusch ?

Selon le rapport de "The Debrief", des fragments de vaisseaux partiels non humains et des vaisseaux entiers intacts ont été récupérés par le gouvernement, ses alliés et des entreprises de défense depuis des décennies… Et ces informations ont été cachées au Congrès.

Un vaisseau en bon état ?

"Il ne s'agit pas d'origines ou d'identités prosaïques. Le matériel comprend des véhicules intacts et partiellement intacts", a déclaré Grusch à Leslie Kean et Ralph Blumenthal du journal "The Debrief".

Des appareils aux “origines exotiques”

Ce sont des objets de toute évidence "d'origine exotique (intelligence non humaine, d'origine extraterrestre ou inconnue) d'après la morphologie des véhicules et les tests scientifiques sur les matériaux, ainsi que la possession d'agencements atomiques et de signatures radiologiques uniques", explique Grusch.

Habilitation élevée

En raison de son habilitation de sécurité, Grusch avait la possibilité d’accéder à tous les programmes qu'il souhaitait : "À un moment donné, je disposais d'une habilitation extrêmement élevée", a-t-il expliqué à la chaîne de télévision spécialisée américaine "News Nation".

Un véritable engin spatial ? Peut-être...

Un programme consistant à "récupérer des véhicules techniques d'origine non humaine, appelez cela des vaisseaux spatiaux si vous le souhaitez", a été refusé à sa force d'intervention, a-t-il expliqué à "News Nation".

Il n'a jamais vu de forme d'intelligence non humaine

Grusch a expliqué qu'il avait parlé à suffisamment de personnes impliquées dans le "programme", comme il l'appelle, pour être sûr que nous ne sommes pas seuls. Mais malgré les preuves qu'il a pu observer, il a admis qu'il n'avait jamais vu de forme d'intelligence non humaine.

“Au début, je n’y croyais pas... ”

"J'ai commencé par être un non-croyant. J'ai abordé le problème en tant que physicien pur et dur... J'ai été très méthodique... J'ai interrogé des personnes qui ne se connaissaient pas et je me suis assuré qu'il ne s'agissait pas d'une sorte de dissimulation d'un autre programme", poursuit Grusch auprès de "News Nation".

Nous ne sommes pas seuls dans l’univers

"Nous ne sommes certainement pas seuls. Les données indiquent de manière tout à fait empirique que nous ne sommes pas seuls", explique Grusch, avant d'ajouter plus tard que s'il n'avait jamais vu d'intelligence non humaine, il avait vu "quelques photos intéressantes" et "lu quelques rapports très intéressants".

Devons-nous prendre son alerte au sérieux ?

Si son parcours parle pour lui, les images et les documents qui pourraient prouver les affirmations de Grusch, elles, sont toujours classifiées... Mais Grusch a "fourni les preuves en interne à l'inspecteur général et est entré dans tous les détails", comme il l'explique.

C'est tout simplement n'importe quoi, selon le magazine "Forbes"

Dani Di Placido, journaliste au magazine économique américain "Forbes", écrit que les affirmations de Grusch ne sont que de la "pure science-fiction", soulignant quelques éléments fondés sur l'avis de Grusch. D'autres, en revanche, considèrent ses affirmations comme crédibles. Il ne nous reste plus qu'à attendre que les preuves démontrent si le dénonciateur dit la vérité ou non.

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