Le restaurant le plus cher du monde : savez-vous où il est et combien coûte son menu ?
Ce restaurant n'est pas à la portée de toutes les bourses, mais l'expérience qu'il offre est semble-t-il extraordinaire. Pour la vivre, il vous faudra vous rendre en Espagne et débourser la modique somme de 1 800 € par personne. Voici le prix à payer pour un menu dans le restaurant le plus cher au monde !
En décrivant le “Sublimotion by Paco Roncero”, on arrive facilement à bout de qualificatifs tant ce que propose le restaurant aux douze convives qui ont eu la chance (ou la richesse) d’y être conviés est extraordinaire. On peut cependant s'accorder à dire qu'il est : select, innovant, inoubliable et cathartique...
Photo : Sublimotion by Paco Roncero
La proposition de Paco Roncero (deux étoiles Michelin et trois soleils Repsol) dans son "Sublimotion", va bien au-delà de la gastronomie.
Photo : Sublimotion by Paco Roncero
C'est ainsi que nous renseigne le site web de "Sublimotion" : il s'agit en effet de la "première performance gastronomique créée pour renforcer le plaisir de s'asseoir autour d'une table."
Photo : Sublimotion by Paco Roncero
"Une nouvelle performance artistique qui fusionne haute cuisine, technologie, mise en scène et spectacle". C'est à cela que sont confrontés les 12 "convives uniques chaque soir".
Photo : Sublimotion by Paco Roncero
Alléchant, n'est pas ? Mais, où donc se dresse ce "Sublimotion de Paco Roncero" ? Eh bien pas à un, mais à deux endroits : à Ibiza, dans l'hôtel "Hard Rock" au cours des trois mois de l'été, et à Dubaï en novembre.
Photo : Sublimotion by Paco Roncero
Inutile de dire que la liste d'attente pour faire partie des 12 chanceux qui passent par "Sublimotion" chaque soir est interminable.
Photo : Sublimotion by Paco Roncero
Derrière "Sublimotion", il y a de nombreux professionnels célèbres, même si c'est "Paco Roncero" qui donne son nom à l'établissement.
Photo : Sublimotion by Paco Roncero
Pour commencer, grâce à la collaboration de personnes comme Diego Guerrero ou Dani García, l'équipe de cuisine compte jusqu'à 10 étoiles Michelin.
Photo : Sublimotion by Paco Roncero
Bien loin de la "gastronomie habituelle", le restaurant fait appel à des designers, des scénaristes, des ingénieurs, des compositeurs et même des illusionnistes.
Photo : Sublimotion by Paco Roncero
L'objectif est simple, mais constitue en même temps un véritable défi à chaque service : "Transformer la table en scène et le convive en star". Et ils y arrivent !
Photo : Sublimotion by Paco Roncero
Tout d'abord, comme le lieu ne se trouve pas dans l'hôtel Hard Rock Ibiza lui-même, les convives sont transportés sur place dans des véhicules noirs immaculés, comme le cortège du président américain.
Photo : Sublimotion by Paco Roncero
L'expérience "Sublimotion" démarre dès la sortie de la voiture. Émotion et mystère sont les grands atouts de l'équipe de Paco Roncero, qu’elle exploite à l'extrême.
Photo : Sublimotion by Paco Roncero
Ce qui fait de ce voyage une expérience inoubliable, ce sont la musique, les couleurs, les vestibules sinueux et un décor changeant, dans lequel aucun des 12 convives ne sait ce qu'il va se passer.
Photo : Sublimotion by Paco Roncero
Et une fois à table ? Eh bien, lorsque les convives prennent place, les créations de l'équipe de maîtres cuisiniers qui partagent l'œuvre de Paco Roncero prennent le relais.
Photo : Sublimotion by Paco Roncero
De l'"Océano" de Dani García à "Chaplin" de Diego Guerrero et "Central Park" de David Chang, chaque plat propose un dépaysement total, sans qu'aucun des convives n'ait à se lever de sa chaise.
Photo : Sublimotion by Paco Roncero
En fait, les convives ne se lèvent pas avant la fin de la fête, qui a lieu sur une terrasse extérieure où l'altitude, l'expérience, les boissons et la musique de Wally López portent la soirée à l'extase finale.
Photo : Sublimotion by Paco Roncero
Et c'est ainsi que se conclut une soirée dans le restaurant le plus cher au monde... Si vous l'avez essayé, dites-nous ce que vous en pensez. Et surtout : est-ce que ça en vaut la peine ?
Photo : Sublimotion by Paco Roncero