Vous souvenez-vous de ces grandes séries des années 70 ?

Avec leur Ford Torino rouge à bande blanche, Starsky et Hutch sont de véritables icônes de l'époque, avec l'esthétique et l'attitude des années 60 et 70 (à mi-chemin entre hippie et rebelle). Leur combat contre le crime aura duré du 30 avril 1975 au 15 mai 1979, au long de 92 épisodes diffusés sur la chaîne américaine ABC.

Les aventures sentimentales de l'équipage et des passagers d'une croisière de rêve. La liste des artistes invités est interminable : de Lillian Gish aux Village People, en passant par Vincent Price, Gina Lollobrigida et même Andy Warhol !

Le trench-coat le plus célèbre de la télévision. Et le grand succès d'un acteur qui, avant de devenir si célèbre, a tourné des films indépendants avec John Casavettes.

"Dallas" était un feuilleton addictif de sa création en 1978 jusqu'à sa fin. J.R., joué par Larry Hagman (sur la photo), était l'un des plus grands méchants de l'histoire de la télévision.

Conservant l'esprit fascinant du film original réalisé en 1968 avec Charlton Heston, cette version télévisée diffusée par CBS en 1974 figure parmi les multiples suites de l'œuvre culte.

Les trois protagonistes féminines avaient un peu de cette émancipation que le féminisme avait réussi à imposer dans les années 60 mais, dans le même temps, la façon dont un certain Charlie encadrait leur carrière de chasseuses de criminels transpirait le machisme.

Cette série phare de la fin des années 70 dépeint les trajectoires de vie très différentes de deux frères, fils d'un émigré allemand à New York entre 1945 et 1968. C'est grâce à cette série que Peter Strauss (voir la photo) et Nick Nolte sont devenus de véritables légendes de la télévision de l’époque.

Mark Hamill (qui a quitté ce projet pour jouer Luke Skywalker) et Ralph Macchio ont tous deux fait de brèves apparitions dans cette série qui met en scène les vicissitudes d'une grande famille vivant dans la ville californienne de Sacramento.

Une intrigue sur les situations "choquantes" découlant de la cohabitation d'un homme (Richard O'Sullivan) et de deux femmes (Paula Wilcox et Sally Thomsett) qui partagent un appartement. De l'humour britannique de haut niveau, même si aujourd'hui, l'approche de cette comédie de Thames Television est peut-être un peu dépassée. La série a donné naissance à deux autres séries du même genre. Jetons-y un coup d’œil juste après.

Richard O'Sullivan quitte son appartement en colocation et a ouvert un restaurant. La première a eu lieu en 1977.

Les apparitions du couple d'âge mûr joué par Yootha Joyce et Brian Murphy ont eu un tel succès dans "A Man in the House" que les personnages méritaient leur propre série. Mais il existe encore une autre dérivée de la série originale : la version réalisée aux États-Unis.

Les rôles principaux féminins ont changé et John Ritter est resté dans le rôle de "l'homme au foyer" dans cette version américaine de la sitcom britannique à succès de 1977. Finalement, la série a été annulée en 1984.

Dans chaque épisode, Michael Douglas s'opposait au vénérable Karl Malden dans cette série qui aura valu au premier la célébrité.

La 20th Century Fox, productrice de "Star Wars", a poursuivi Universal pour vol d'idées car elle prétendait que l'incroyable succès du premier volet de la saga "Star Wars" en 1977 avait poussé Universal à sortir cette fabuleuse série. Le procès n'a (heureusement) jamais abouti.

Basée sur les romans d'Alberto Manzi, avec un personnage très proche de Tarzan, mais qui ne semble pas avoir bronzé dans la jungle, cette série italo-allemande débarque en 1976.

Pour le comédien indien Kabir Bedi, cette coproduction Franco-Italiano-Allemande, qui a transformé les romans d'Emilio Salgari en une série, a été le plus grand rôle de sa vie.

C'est par cette série que Michael Landon a commencé sa carrière en tant que star de la télévision, spécialisé dans les rôles de bons gars. Basée sur la série de romans autobiographiques écrits par Laura Ingalls dans les années 1930, cette série a connu un énorme succès dès sa création en 1973.

Lou Ferrigno est le premier Hulk. Tout ce dont il avait besoin était un maquillage vert, ses muscles massifs et un pantalon déchiré. Avant que Marvel ne fasse de son univers une machine à box-office mondial, il y a eu des tentatives d'adaptation de bandes dessinées de ce héros, parmi lesquelles celle-ci.

Une comédie à l'humour anti-guerre dont le dernier épisode, diffusé en 1983, détient le record de l'épisode le plus regardé de l'histoire de la série : 125 millions de téléspectateurs aux États-Unis. Cette comédie absolument atypique, réalisée par Robert Altman, est devenue une série sur les vicissitudes d'un groupe de médecins pendant la guerre de Corée.

En 1977, un an après le succès au box-office de "L’Âge de cristal" (avec Michael York), cette série sur un monde dystopique qu'il faut fuir à tout prix a vu le jour.

Le crâne rasé le plus célèbre de l'histoire de la télévision. Telly Savalas jouait le rôle du détective amateur de bonbons.

Le grand travail d'Ed Asner fut d'abord le "The Mary Tyler Moore Show", puis la série "Lou Grant", qui a disséqué le métier de journaliste dans les années 70 et 80.

Un enquêteur avec un cacatoès, sans manteau ni chapeau (rarissime dans les années 70) des plus originaux.

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Kunta Kinte, le personnage principal, est devenu un nom connu dans presque toutes les régions du monde. En 1977, cette série a eu un impact mondial : elle illustrait la cruauté de l'esclavage, l'un des chapitres les plus infâmes de l'histoire des États-Unis (et de nombreux autres pays).

Une autre série qui traite d'un épisode difficile : la persécution et la tentative d'anéantissement du peuple juif par les nazis. C'est choquant. L'un des premiers rôles vraiment importants de Meryl Streep. Sorti en 1978.

Un flic placide du Midwest dans le New York chaotique des années 70. C'est de cette approche simple qu'est née cette série et, plus tard, "McCloud et sa femme".

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