Les bienfaits du sport sous la pluie
L’automne est là, et avec lui les averses et le début des froids hivernaux. Mais saviez-vous que faire du sport sous la pluie est une pratique bienfaisante ?
Il peut paraître très difficile de se motiver pour aller courir, faire du vélo ou bien un match de tennis sous la pluie. Et pourtant, les bénéfices pour la santé (notamment mentale) sont réels. Même une marche rapide pourrait faire l'affaire !
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Les désagréments liés au froid ou à la météo sont évidemment le principal frein : la peur d’avoir froid va de pair avec celle de tomber malade, sans parler de la nécessité de bien se couvrir.
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La pratique du sport sous la pluie requiert justement un équipement adéquat (chaud, étanche, mais léger). Il faut aussi être bien conscient de ses capacités physiques et de ses limites.
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Il est par ailleurs important de bien vérifier la météo avant de se lancer : ne prenez pas de risques inutiles en pratiquant un sport de plein air sous l’orage ou au milieu d’une tempête.
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En réalité, c’est avant tout une barrière mentale qui limite la pratique du sport sous la pluie. Car, comme l’explique Lucile Woodward, coach sportive citée par le ‘Huffington Post’, « le cerveau a peur de mourir et demande de diminuer l’intensité. »
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Cependant, l’organisme se réchauffe vite pendant l’effort. « On transpire car notre corps fait tout pour rester à 37 degrés. », ajoute Lucile Woodward.
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S’il est important de ne pas trop se couvrir, l’élément-clé de l’équipement est la casquette qui protège les yeux de la pluie. Choisissez-la de préférence dans une matière qui ne prend pas l’eau : évitez donc le coton.
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Attention toutefois à l’hypothermie ! Évitez de vous arrêter en restant mouillé pour ne pas vous refroidir, et couvrez-vous dès que votre activité physique est terminée.
N’oubliez pas que les avantages du sport par mauvais temps sont nombreux : cela apporte une plus grande sensation de bien-être et de satisfaction après l’effort, tout en ayant un impact positif sur la confiance en soi.
Lucile Woodward rappelle que l’on « diminue progressivement notre résistance à l’effort ». « On se sent un peu héroïque. On se sentira plus fort dans la tête quand on fera du sport à nouveau, quand il fera beau. », conclut-elle. À vos marques !