Claude François : 16 secrets que vous ignoriez sur le célèbre chanteur !
Homme à femmes (de préférence plus jeunes), colérique et ayant des enfants cachés… Après sa mort le 11 mars 1978, Claude François est parti avec beaucoup de secrets et de grosses zones d’ombres. Mais 45 ans après, les masques tombent. On vous révèle 16 secrets sur la vie du chanteur.
Claude François a entretenu une relation avec une toute jeune Belge de 14 ans, Fabienne, qui lui aurait fait croire qu’elle était majeure. Cette dernière est tombée enceinte à 15 ans et a fait adopter sa fille, Julie Bocquet. Elle a fini par retrouver sa mère, puis via un proche des enfants de Claude François, elle a récupèré un mégot et fait faire un test ADN. Aujourd’hui, elle ne souhaite plus rester dans l’ombre.
(Capture d'écran Youtube de l'émission "C'est que de la télé", C8)
Claude François est né en 1939, s'est éteint à 39 ans, exactement 39 jours après son anniversaire - le 11 mars 1978 -. Avouez que c’est un hasard plutôt étrange.
Alors qu’elle était enceinte, Lucia Mazzei dite "Chouffa", la mère de Claude François, a consulté une voyante en Égypte, - là où vivait la famille. Cette dernière lui a annoncé qu’elle voyait "le nom de votre fils écrit en lettres de feu. Il rayonnera, mais cela s'arrêtera brutalement. Je ne peux pas vous dire pourquoi". Et cette vision s’est, en effet, réalisée 39 ans plus tard, quand ce dernier s'est électrocuté en changeant une ampoule dans sa douche…
Claude François s’est fait refaire le nez, ce qui est de notoriété publique. Ce qu’on ignore, c’est que c’est un coup de poing qui est responsable de sa deuxième opération. En effet, pendant une séance photo, Claude François, connus pour ses coups de sang, s’en est pris à un photographe. Excédé, ce dernier l'a frappé en plein visage et lui a cassé le nez, seulement quelques jours après sa première opération. "Nous avons reporté la séance photo. Claude est revenu cinq jours plus tard avec son bandage sur le nez et il n’en menait pas large", a raconté Eddy Mitchell dans son autobiographie de 2013, "Il faut rentrer maintenant".
Mais Claude François a dû se faire opérer du nez une troisième fois. Là encore, c’est Eddy Mitchell qui a partagé l’anecdote : “Claude […] s’est pris en pleine figure des portes battantes ! Pile-poil dans le nez. Retour à l’hôpital encore une fois avec son nez en bouillie… C’est ce qu’on appelle être marqué”.
Que serait Claude François sans ses Claudettes ? Ces danseuses devaient en effet “dynamiser” ses performances. Sur scène, tout ça paraît idéal, mais c’est une réalité différente qu'ont vécu les danseuses une fois le rideau tombé. Elles sont nombreuses à avoir témoigné de son mauvais caractère : réflexions déplacées sur leur physique, mais surtout des gifles reçues lors de ses crises de colère...
1964 : Claude François, 25 ans, était en couple avec France Gall, 17 ans. Une relation qui a fait jaser et a dérangé les médias. Il choquera l’opinion publique dans une interview sur la RTBF : "j’aime les filles jusqu’à 17-18 ans, après je commence à me méfier. Bien sûr, j’ai des aventures au-delà de 18 ans, heureusement, mais après 18 ans je me méfie, parce que les filles commencent à réfléchir, elles ne sont plus naturelles, ça commence même quelques fois avant". Pire, il ajoute : "il existe une horrible moyenne entre 18 et 30 ans (...) on retrouve cette forme humaine et équilibrée après une bonne trentaine d’années".
Claude François a longtemps travaillé son image de séducteur. Surtout, il a voulu la conserver à tout prix. Pendant six ans, de 1969 à 1975, il a caché l'existence de son plus jeune fils, Marc François. Le public connaît son premier enfant, Claude François Jr., mais le chanteur était persuadé que la naissance de ce deuxième enfant amplifierait sa réputation de "coureur de jupons". Et quand la supercherie a été démasquée, il y a vu une superbe occasion de faire parler de lui. Il a dit à son agent : "On va sortir Marc". Pour le père modèle, on repassera.
En 1970, la carrière de Claude François battait de l’aile. Il peinait à s’imposer face aux nouvelles stars. Alors, il a décidé de simuler un malaise en plein concert, avant de se faire évacuer par hélicoptère. Les médias se sont emparés du scoop, les fans étaient morts d'inquiétude. Un sacré coup de communication de Cloclo !
Il se trouve qu’en réalité, Claude François, avec l’ego qu’on lui connaît, était jaloux de tout le monde. Mais le pire reste à ses yeux Johnny Hallyday. "Il y avait une telle rivalité entre Johnny et Claude. Ils se détestaient vraiment !", raconte Michel Drucker. De son côté, Johnny ne l’aimait pas beaucoup non plus : "Euh Claude François… T’enlèves les Claudettes… Qu’est-ce qu’il reste ?", aurait-il dit.
Entre 1962, année de son premier concert, et 1978, celle de sa dernière représentation à Lyon, Claude François a donné en moyenne six concerts par mois. Un sacré rythme à tenir !
1975 : Claude François était à Londres pour enregistrer "Le téléphone pleure" en anglais. Il logeait au Hilton Park Lane. Quand, à 12h30, il est descendu dans le hall pour partir en studio, une bombe a explosé à 1,50 m de lui. Il a été protégé par le corps d’une jeune femme. Il sera longtemps traumatisé par cette vision. Rentré à Paris, ses tympans étaient perforés.
Claude François était fan de "bons" imitateurs. Ses préférés ? Thierry Le Luron et Yves Lecoq. Il a repéré un débutant qui imitait très bien Joe Dassin et Bourvil : Patrick Sébastien. Problème, il se rongeait les ongles, ce que détestait Cloclo : "Patrick, il a du talent, mais quelle sale manie !".
Le jour de son enterrement, son ex-femme Isabelle Forêt a glissé une photo de leurs deux garçons entre sa chemise et son corps.
En 1963, Claude François a acheté son appartement au 46 boulevard Exelmans, à Paris. Le propriétaire souhaitait le vendre, car sa femme s’y était donné la mort dans la salle de bain. Quinze ans plus tard, Claude François meurt électrocuté dans sa baignoire. En 1981, le nouveau propriétaire a décidé d'échanger l’emplacement de la salle de bain avec celui de la chambre. Sa femme a fini elle aussi par mettre fin à ses jours, dans la chambre…
Claude François aimait le jardinage. Il aimait particulièrement jardiner la nuit. Le 5 mars 1978, il a planté un magnolia, qui a fleuri le 15, jour de ses obsèques.